• images (7)

    Aimer est parfois aussi périlleux que haïr.
     
    Dans les parc nationaux d'Europe et d'Amérique du nord , le visiteur rencontre souvent des faons.
    Le promeneur attendrit par cette peluche vivante est tenté de caresser l'animal , c'est  la douceur de la bête qui entraine ce mouvement de tendresse humaine , or cet attouchement constitue un geste mortel........
    Durant les premiers jour la mère ne reconnait son petit qu'a l'odeur , le contact humain si affectueux soit il , va imprégner le faon d'effluves humaines.
    Ces émanations polluantes , même infimes détruisent la carte d'indentité olfactive du faon qui sera aussitôt abandonné par l'ensemble de sa famille .
    Aucune biche ne l'acceptera plus et le faon sera condamné a mourir de faim.
    on nomme cette caresse assassine " syndrome de Bambi".
     
    images (6)

    votre commentaire
  •  

     > La vraie fête des mères , c'est l'anniversaire de leurs enfants.   [Jean Cavé] 


     

    Extrait de Une femme d'esprit


    votre commentaire
  • Quand on n'a besoin que de peu de chose, un rien suffit, et quand un rien suffit on n'a pas besoin de grand-chose.

    PIERRE DAC

    "Pierre Dac n'est pas seulement un humoriste. Digne successeur de Pascal, il est aujourd'hui considéré comme un philosophe du vingtième siècle. Ses Pensées en constituent la preuve flagrante. Ecrites au début des années trente, mais seulement enregistrées à la fin des années soixante, elles font maintenant partie du langage populaire et figurent même au programme des classes de français, dans certains lycées."
    Jacques Pessis


    votre commentaire
  • "Si l'on pouvait croiser l'homme et le chat, ça améliorerait l'homme mais ça dégraderait le chat".

    Mark TWAIN

     


    votre commentaire

  • Lorsque les chinois annexèrent le Tibet , ils y installèrent des familles chinoises pour prouver au monde que ce pays était peuplé de chinois ,mais au Tibet ,la pression atmosphérique est difficile a supporter , elle provoque des vertiges et des œdèmes chez ceux qui n'y sont pas habitués , et par on ne sait quel mystère les femmes chinoises s'avérèrent incapables d'accoucher la-bas tandis que les femmes tibétaines n'avaient aucun problèmes dans les villages les plus élevés.
    Tout se passait comme si la terre tibétaine rejetait les envahisseurs organiquement inadapté au pays.

    1 commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique